«On nous a demandé avec beaucoup d'insistance de voter Hadopi»
[…] Evoquant les pressions subies par les parlementaires, le député raconte : « J’ai pris comme exemple la loi Hadopi, qui était ce qu’elle était, mais elle nous a mis à dos un certain nombre de jeunes. Elle a hésité, tergiversé, puis finalement elle a été votée parce qu’on nous l’a demandé avec beaucoup d’insistance… euh voilà, c’était pas une bonne chose […] La position des députés était très inconfortable. »
Banalisation de l'Open Source, bonne nouvelle ?
[…] L’Open Source continue de monter en puissance, et il n’est pratiquement plus une entreprise dont une part du système d’information ne soit construit avec des composants et solutions Open Source. L’Open Source est partout, et tous les acteurs se disent désormais Open Source. Les anglo-saxons disent « Open Source is going mainstream », c’est à dire, en quelque sorte, entre dans la normalité, voire même devient le standard. Est-ce la consécration ? Oui, d’une certaine manière. Est-ce la fin de l’histoire ? Certainement pas.
Bercy et le ministère de la Culture diffusent une extension libre pour OpenOffice
Afin de simplifier l’application de la loi relative à l’utilisation des termes étrangers dans les documents administratifs, les ministères des Finances et de la Culture ont développé et diffusé au sein de l’administration un correcteur terminologique pour OpenOffice. […] Le code source a été reversé à la communauté OpenOffice. Ce logiciel libre (LGPL v3) se présente comme une extension pour la suite bureautique.
Les logiciels libres sont des logiciels ! Et doivent être gérés comme tels
[…] Pour libérer pleinement leur potentiel, les logiciels libres doivent s’inscrire dans une stratégie (externalisation, optimisation du portefeuille applicatif ou encore migration de l’infrastructure en place) qui prend en compte la totalité de l’environnement de l’entreprise. L’utilisation de l’open source est une idée intéressante mais requiert des compétences et une attention accrue de la société utilisatrice.
Renault s’embarque dans le logiciel libre
[…] Le logiciel libre intéresse de plus en plus l’industrie automobile, du moins pour les fonctions d’information et de loisirs (infotainment) dans le véhicule. Après BMW, General Motors et PSA Peugeot Citroën, c’est au tour de Renault de rejoindre l’alliance GENIVI en tant que membre du conseil d’administration de l’organisation.
Un projet "Open Source" de machine à laver
Une équipe d’étudiants en 2ème année de l’Ecole Supérieure d’Art d’Aix-en-Provence ont bricolé une machine à laver rudimentaire qui utilise uniquement des matériaux disponibles dans les déserts comme le Sahara. La machine comprend entre autres, des éléments de vélos (roues + pneus), du bambou, un panneau solaire le tout directement relié à un moteur électrique recyclé provenant d’un photocopier.
Le ballot screen entraine un fort recul d'Internet Explorer
[…] Durant la même période, toujours pour la France, Firefox a grimpé d’1,2 point, avec 36,57 % de PDM. Chrome a pour sa part gagné 0,8 point (6,65 % de PDM). Opera, par contre, n’a que peu progressé dans l’Hexagone, avec une hausse minime de 0,11 point (1,19 %).
Le manchot Linux au secours de la Bourse japonaise
Le Tokyo Stock Exchange (TSE), plus prosaïquement connu comme étant la Bourse de Tokyo, est la deuxième place boursière au monde. Elle a récemment basculé son système informatique vers une solution Red Hat Enterprise Linux, laquelle fonctionne sur des serveurs Intel fournis par Fujitsu.
Logiciel libre et innovation, un mariage fertile
Le logiciel libre est-il forcément synonyme d’innovation pour l’entreprise ? Peut-on superposer allégrement, comme s’il s’agissait de la même chose, les formules “Open Source” et “Open Innovation” ? Le salon Solutions Linux 2010, qui vient de fermer ses portes après trois jours d’intense activité et une affluence record, a été l’occasion de relancer le débat sur le rapport entre le libre et la capacité de l’édition logicielle à innover.
Rennes va partager ses données publiques sur Internet
La communauté d’agglomération Rennes Métropole, la Ville de Rennes et Kéolis Rennes ont ouvert leurs données publiques depuis le 1er mars et les partagent sur Internet. […] Toutes ces données sont partagées sous la licence Creative Commons, avec une restriction empêchant l’utilisation commerciale de la base de données. Les développeurs ne pourront donc pas vendre leurs applications au public (sur l’App Store par exemple) ou y intégrer de publicité, bien que la ville n’exclut pas de changer la licence à terme pour autoriser les applications commerciales.