Microsoft lance sa propre fondation open source
Après avoir proposé de multiples projets open source, ainsi qu’une plate-forme d’hébergement destinée aux logiciels libres (CodePlex), Microsoft souhaite aller plus loin. La fondation CodePlex fait ainsi son apparition. Elle est financée directement par l’éditeur de Redmond. Le président intérimaire de cette fondation est Sam Ramji, directeur senior platform strategy chez Microsoft, et grand promoteur des logiciels libres.
Il n'existe pas de liste noire sur quelque sujet que ce soit chez Microsoft
Quant au fait de savoir si Linux est une technologie concurrente, la réponse est oui. Mais cela n’est pas du tout en contradiction avec nos stratégies d’ouverture, au contraire. Les exemples de collaboration ou de travaux communs avec les communautés Linux ou autres ne manquent pas. Comme indiqué précédemment, nous avons publié du code source Linux afin d’en optimiser le fonctionnement sur nos environnements de virtualisation. Cette initiative a d’ailleurs été soulignée publiquement par Linus Torvald lui-même en estimant que Microsoft avait fait ce qu’il fallait.
Le mécénat global, alternative à Hadopi ?
Proposer un nouveau mécanisme de financement des créateurs : c’était le but d’artistes, de membres d’associations soutenant le logiciel libre et ses déclinaisons artistiques, et d’acteurs d’Internet, réunis mardi 8 septembre à la mairie du 3e arrondissement de Paris. Clef de voûte de leurs proposition, une Société d’acceptation et de répartition des dons (SARD), dont le but est de faciliter le don des internautes aux artistes, plutôt que réprimer le téléchargement illégal, a été fondée.
Le noyau Linux 2.6.31 doublera les performances du serveur graphique X
Le futur noyau Linux 2.6.31 se concentrera sur les performances, en particulier avec les machines desktop pourvues de peu de mémoire vive. […] L’essentiel du travail est cependant centré sur les performances. Ainsi, la gestion de la mémoire virtuelle sera en net progrès. […] D’autres technologies seront également présentes : les compteurs de performance intégrés à certains processeurs modernes (x86, PowerPC, S390, etc.) pourront être exploités. Ils permettront aux développeurs de logiciels d’atteindre un niveau d’optimisation inaccessible jusqu’alors sous Linux.
Du rififi chez les pirates français
Début de l’histoire : 2006. La première association portant le nom de « Parti pirate » (PP) est créée en réaction au projet de loi DADVSI. Un désaccord sur l’inclusion de la promotion du logiciel libre dans le programme a été l’une des causes de sa rapide scission en deux - le Hard reset, comme elle a été appelée dans leur jargon geek. Les séparatistes qui n’approuvaient pas le militantisme libriste et voulaient se concentrer sur « la lutte contre les processus liberticides » ont pris le nom de Parti pirate français canal historique (PPFCH)
e-administration open source : le Brésil et la France font cause commune
La société Serpro (Serviço Federal de Processamento de Dados), un important service informatique du gouvernement fédéral brésilien, et Bull, un leader franco-européen des technologies de l’information, compte développer conjointement des technologies open source pour l’administration en ligne.
Le fabricant de l'iPhone planche sur des PC à moins de 200 dollars
Selon Young Liu, les nouveaux PC à bas coût devraient fonctionner avec le système d’exploitation libre et gratuit Linux. « Il n’était pas possible de fabriquer un PC à moins de 200 dollars en utilisant les puces d’Intel et Windows [de Microsoft, NDLR] », a expliqué Liu. Foxconn pourrait avoir les moyens de ses ambitions. Premier sous-traitant mondial en électronique, il est aussi le fabricant de l’iPhone d’Apple et de la Wii de Nintendo.
Le génie génétique s’inspire du logiciel libre
D’ailleurs, la philosophie de cette nouvelle activité s’inspire directement du monde du logiciel libre : la communauté des biohackeurs met en commun ses découvertes et les protègent avec des licences libres, ce qui permet à quiconque de les utiliser à condition de publier son propre travail sous la même licence.
Microsoft : des arguments commerciaux anti-Linux
Sous couvert d’anonymat, un employé de la chaîne de magasins Best Buy met en ligne un diaporama de formation attribué à Microsoft où Linux est largement attaqué. Des arguments de vente en faveur de Windows 7.
Open Invention Network veut protéger Linux de Microsoft
Dans le but d’écarter le risque de procès qui pourrait décourager l’adoption de Linux, des rivaux de Microsoft seraient prêts à acquérir un ensemble de brevets anciennement détenus par la firme de Redmond, rapporte le Wall Street Journal. L’Open Invention Network, organisation américaine qui regroupe IBM, Red Hat, Novell, Sony, Nec et Philips, serait sur le point d’acquérir 22 brevets. Ces derniers auraient été vendus en début d’année par Microsoft à une autre organisation : l’Allied Security Trust.