Éditrice depuis plus de 20 ans de logiciels libres, la ville de Paris a annoncé le 8 juin la création d’une suite informatique prête à l’emploi: «CitéLibre».

Stanislas Guérini, le ministre de la Transformation et de la Fonction publiques, voit ses attributions réduites en tant que ministre: il n’a plus le droit de s’occuper ni de Google, ni d’Alphabet encore moins de cloud. Son épouse travaille en effet pour Google.

Le festival dédié à Internet et aux mondes imaginaires se poursuit ce dimanche. Et il y en a pour tout le monde, du spécialiste au débutant.

Les fonds promis pour sécuriser les logiciels open source constituent un début important, mais la créativité des pirates et la prolifération des cibles font que cela n’apporte aucune garantie.

La société française Murena a annoncé récemment la «V1» de son système mobile /e/OS et le lancement de son premier smartphone, le Murena One. Nous nous sommes entretenus avec le fondateur et président de l’entreprise, Gaël Duval, sur les objectifs de ce nouveau venu.

Le web3 va-t-il tuer le web ? Le web3 peut donner un nouveau souffle à la sphère numérique en brisant les monopoles et redonnant le pouvoir aux utilisateurs. Une vision qui fait toutefois de nombreux sceptiques.

Sur Europe 1 hier, Christian Estrosi est revenu à la charge en faveur de la reconnaissance faciale. Une solution prônée en réaction aux incidents survenus au Stade de France samedi. Il s’en est pris une nouvelle fois à la CNIL, cette «espèce d’institution poussiéreuse». Une excellente occasion de réexpliquer au maire de Nice quelques fondamentaux.

Bâtir le commun numérique des programmes scolaires dans les cinq ans, sur la base du logiciel d’apprentissage en ligne Moodle, c’est le ‘rêve’ ambitieux du directeur du numérique pour l’éducation, Audran Le Baron.

L’open source représente une dynamique extraordinaire trop souvent sous-estimée en France, explique Gilles Babinet. Son utilisation accrue permettrait de démocratiser notre culture numérique et d’en faire un outil d’inclusion.

Pour le président de l’Association des Services Communautaires Internet (Asic), «un ministère du numérique n’a pas de sens et peut même être contre-productif»