L’association française Framasoft se bat pour proposer un maximum de variations «libres» des principaux services commerciaux de Microsoft, Google et même Facebook. Son but: se libérer du joug de ces géants de la technologie
Des webcams, des enregistreurs vidéos et d’autres objets connectés à Internet ont été utilisés pour bloquer des sites web majeurs durant plusieurs heures
«Lors de notre première apparition à cet événement, on nous regardait un peu de travers, reconnaît Manuel Michaud, qui dirige les initiatives «open source» de Microsoft en Suisse. Désormais, la communauté open source, celle qui évolue dans le monde commercial, comprend notre approche pragmatique. Microsoft reconnaît que l’open source est une réalité du marché et cherche à collaborer avec les fournisseurs de ces solutions. […] La grande crainte de Microsoft, c’est bien sûr que ses clients délaissent Windows ou Office pour des logiciels open source, c’est-à-dire des programmes dont le code source peut être modifié librement.