Ci-dessous se trouvent les pages utilisant le terme taxonomique “Fabien Deglise”
Éradiquer Facebook pour sauver la démocratie
Richard Stallman, le père des logiciels libres, appelle les citoyens à reprendre le contrôle de leur vie.
Les ministères échouent à un test de FACIL
La preuve par l’expérimentation. Au terme d’une demande massive d’accès à l’information détenue par une vingtaine de ministères, l’Association pour l’appropriation de l’informatique libre (FACIL) est catégorique: «l’État québécois» est loin d’être «ouvert» et, du coup, «il reste encore beaucoup de verrous à faire sauter pour libérer l’information publique», résume le groupe qui vient toute juste de diffuser, de manière ouverte, les fruits de son enquête.
Savoir ce que font vraiment nos appareils numériques
Une vaste coalition d’organismes et d’individus de tous les horizons, dont FACIL a l’honneur de faire partie, a décrété que le 11 février serait une journée internationale de protestation contre l’espionnage de masse de la National Security Agency (NSA) et autres agences de renseignement comparables. Le choix du 11 février permet de commémorer à la fois l’anniversaire du décès tragique du militant Aaron Swartz et celui de l’importante victoire contre le liberticide projet de loi américain SOPA, il y a deux ans, en février 2012. (Voir https://thedaywefightback.org.)
18 millions en logiciels Microsoft
Québec contrevient à ses propres lois en matière d’ouverture aux logiciels libres
Québec adopte deux décrets contre le logiciel libre
Québec vient d’adopter deux décrets favorisant la multinationale Microsoft dans la mise à jour de plusieurs milliers de postes informatiques de la fonction publique, mais aussi permettant aux organismes publics d’octroyer des contrats informatiques à une dizaine de grands groupes informatiques, sans appel d’offres ni mise en concurrence de leurs produits avec les logiciels libres.
La lente et difficile ascension du logiciel libre dans l’appareil gouvernemental
Outré par l’exclusion systématique des logiciels libres dans les contrats gouvernementaux, Cyrille Béraud, patron de l’entreprise Savoir Faire Linux, intentait il y a cinq ans une poursuite contre la Régie des rentes du Québec. À la suite de la procédure, dont l’entreprise est sortie victorieuse, l’industrie du logiciel libre a réussi à mettre en lumière un environnement informatique gouvernemental dominé et malsain pour les fonds publics comme pour l’entrée du Québec dans la modernité.
Soutien aux logiciels libres - De la «poudre aux yeux», dit la CAQ
Les promesses de soutien de l’industrie du logiciel libre par Québec ne sont que de la «poudre aux yeux», un «écran de fumée», «visant à dissimuler des dépenses faramineuses en contrats avec les grandes firmes informatiques», a dénoncé mardi la Coalition avenir Québec (CAQ) au lendemain d’une annonce faite par le gouvernement disant soutenir cette industrie, tout en maintenant, paradoxalement, un décret qui éloigne le logiciel libre des appels d’offres de l’appareil gouvernemental.
Contrats informatiques - Québec reconduit le décret libéral anti-logiciel libre
Après l’avoir fortement décrié en 2011, le Parti québécois se prépare à reconduire d’ici à la fin du mois de mars un décret qui permet à l’appareil gouvernemental de faire fi des logiciels libres lors d’appels d’offres, et ce, au profit de solutions informatiques dites privatives, comme celles portées par la multinationale américaine Microsoft, a appris Le Devoir.
Financement des universités: le logiciel libre pour sortir de la crise
Sortir des ornières pour sortir de la crise. En marge du Sommet sur l’enseignement supérieur qui a débuté lundi à Montréal, l’Association pour l’appropriation collective de l’informatique libre (FACIL) invite les universités du Québec à remettre en question leur dépendance coûteuse envers les géants de l’informatique privative, comme Microsoft, pour mettre leur parc informatique au diapason avec le logiciel dit libre.
58 millions pour Oracle
Stupeur et consternation. Les défenseurs des logiciels libres et des données publiques en format ouvert ont vertement dénoncé mercredi la décision du comité exécutif de la Ville de Montréal d’accorder 22,2 millions de dollars de plus sur quatre ans pour l’achat et l’entretien de logiciels gardant l’administration captive des produits privatifs de la compagnie Oracle.
Campagne électorale: les candidats sont invités à signer le Pacte du logiciel libre
Au coeur de la campagne électorale provinciale, l’invitation a été lancée jeudi par l’Association pour l’appropriation collective de l’informatique libre (FACIL) à l’ensemble des candidats impliqués dans la course. Elle leur demande de prendre l’engagement formel de défendre le bien commun dans une société technologique en assurant la multiplication des logiciels non-privatifs partout au Québec en cas d’élection. Françoise David de Québec Solidaire et Henri-François Gautrin du Parti libéral ont signé ce que le FACIL présente comme le Pacte du logiciel libre.
Du logiciel libre au PQ dans Vimont
Du programme informatique au programme… électoral. L’entrepreneur Cyrille Béraud, qui a porté dans les dernières années la cause du logiciel libre et de l’ouverture des données au Québec en s’attaquant entre autres à la Régie des rentes, a décidé de faire le saut en politique sous la bannière du Parti québécois, a appris Le Devoir.
Québec promet la transparence
Un site Web publiera l’état d’avancement des projets du gouvernement
Québec choisit les logiciels sous licence, sans appel d'offres
Dérive informatique? Le gouvernement Charest vient d’adopter dans la plus grande discrétion un décret qui, pour les trois prochaines années, va faciliter l’acquisition sans appel d’offres de logiciels informatiques sous licence par les ministères et organismes publics, a appris Le Devoir.
La STM repousse le logiciel libre
On efface tout et on refait la même chose. La Société de transport de Montréal (STM) envisage, pour une deuxième fois, d’exclure les logiciels libres d’un important appel d’offres visant à acquérir plus de 2500 suites bureautiques. Avec deux études «sérieuses et documentées» en main pour justifier son geste, la STM se prépare donc à accorder ce contrat évalué à 500 000 $ à la multinationale américaine Microsoft, et ce, même si Québec vient d’adopter une nouvelle loi pour faire plus de place aux logiciels libres dans l’administration publique.
La STM suspend son appel d'offres fermé au logiciel libre
On efface tout et on recommence. Sous un feu nourri de critiques, la Société de transport de Montréal (STM) a décidé hier de suspendre son appel d’offres pour l’acquisition de logiciels de marque Microsoft, et ce, afin d’évaluer la possibilité d’ouvrir ce processus d’achat à des logiciels libres de droits.
Vive le logiciel libre!
Québec n’interjette pas appel du jugement confirmant l’illégalité des attributions de contrats de licences informatiques sans appel d’offres