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Logiciel libre et innovation
En ces temps de crise, où il est plus essentiel que jamais de savoir tirer parti de toutes les contributions des employés, brider les bonnes volontés serait suicidaire. Les DSI risquent certes de voir d’un mauvais œil la perte de pouvoir au profit des utilisateurs. Mais si la compétitivité de l’entreprise est à ce prix, il vaut mieux laisser les employés s’emparer de la technologie, open source et standards ouverts, qui permettront alors d’innover de façon distribuée.
Faisons une place à l'open source dans le plan de relance
Au début du mois de mai, la secrétaire d’Etat à l’Economie numérique annonçait un volet numérique au plan de relance de 250 millions d’euros par an pendant trois ans. C’est maintenant au tour de la jeune association Ploss (réseau des entreprises open source en Ile-de-France) de faire dix propositions pour relancer l’économie numérique grâce au logiciel libre.
Pourquoi choisir Linux ?
Mon billet de la semaine dernière, « Linux sur le poste client : 1 % d’utilisateurs », a occupé nos discussions lors des pauses-café. Ce qui a déclenché le débat, c’est cette réponse de Mark Shuttleworth (le « dictateur éclairé » d’Ubuntu Linux), à qui on demandait si exécuter les applications Windows était la chose la plus importante pour le succès de GNU/Linux, « L’écosystème du logiciel libre doit se développer en suivant ses propres règles. Il est différent de l’univers du logiciel propriétaire et doit réussir suivant ses propres critères. Si Linux est juste une alternative pour faire tourner des applications Windows, c’est perdu d’avance. OS/2 l’a démontré. »
Linux sur le poste client : 1 % d'utilisateurs
La part de marché de Linux sur le poste de travail vient de dépasser 1 %, selon Net Applications. Faut-il s’écrier « déjà » ou « seulement » ? Replaçons déjà le contexte : sur le marché des serveurs, Linux s’en sort très bien, en particulier pour ce qui est des serveurs dédiés à l’Internet (e-mail, Web, DNS, etc.). Mais sur le poste client, c’est une autre affaire. En effet, sur ce marché, Linux doit se battre contre deux idées reçues particulièrement tenaces.
Comment simplifier les logiciels open source sans fâcher la communauté?
En résumé, tout concourt à rajouter sans cesse de nouvelles possibilités et de nouveaux boutons dans le logiciel libre. Mais en ne cherchant pas à contrer ces tendances, on risque de se retrouver avec des logiciels certes puissants, mais avec des interfaces touffues et donc trop difficiles d’abord pour les utilisateurs ordinaires.
Eric Raymond : « A-t-on encore besoin de la licence GPL ? »
Il y a quelques jours, Eric Raymond, l’un des principaux théoriciens de l’open source, jetait un pavé dans la mare en remettant en cause la légitimité de la licence GPL. Avant de voir pourquoi ce pavé, comme tout pavé, fait des vagues quand il arrive dans la mare, il faut bien comprendre ce qu’est la licence GPL.
A Solutions Linux, deux mondes cohabitent
La semaine prochaine se tiendra la 10e édition du salon Solution Linux et open source. Il y a des dizaines d’événements open source en Europe et en France, mais Solutions Linux occupe une place particulière parmi eux. C’est le seul où vous verrez professionnels et associations se côtoyer si intimement.