Le point de discorde central se situe autour d’un affrontement intense entre le cofondateur de WordPress, Matt Mullenweg, et WP Engine, un prestataire d’hébergement spécialisé dans WordPress.

Mistral AI commence a étoffé ses équipes aux États-Unis pour s’imposer sur place en alternative aux IA des géants du web.

La fondation Linux a lancé un projet pour favoriser le développement open source de l’IA générative, en partenariat avec des entreprises, dont Intel.

Le projet de loi adopté par l’Assemblée nationale vise à lutter contre les dérives sur internet: escroqueries, harcèlement, etc.

Sur le vieux continent, les navigateurs à la part de marché modeste ont vu le nombre d’utilisateurs grimper le mois dernier.

Devant notamment protéger les mineurs contre la pornographie, le projet de loi SREN est jugé autoritaire par plusieurs associations.

La fuite de LLaMA a entraîné un débat sur la nécessité de rendre ces technologies open source, malgré les risques.

La direction interministérielle du numérique (DINUM) a partagé sa feuille de route pour la stratégie numérique de l’État.

GitHub, OpenAI et Microsoft s’associent pour essayer de rejeter un recours les accusant de ne pas respecter les droits d’auteur sur l’IA.

La Fondation Linux a annoncé le lancement du projet AgStack pour héberger et gérer les données mondiales sur l’agriculture.

L’autorité allemande de protection des données a dévoilé un rapport pointant un des insuffisances dans le respect du RGPD par Microsoft.

Le projet Sylva réunit plusieurs opérateurs et founisseurs de télécom européens dans le but de concevoir un cadre cloud homogène.

Le ministère de l’Éducation nationale confirme ne pas vouloir des offres de Microsoft Office 365 et de Google Workspace dans les écoles.

Linux Foundation a annoncé le 16 septembre la création d’une branche en Europe, à Bruxelles, pour développer les projets open-source.

Un pirate menace de publier des informations secrètes de Nvidia si l’entreprise ne débride pas ses cartes graphiques utilisées pour le minage.

La Commission européenne adopte un nouveau règlement pour favoriser l’open source et stimuler l’innovation au sein de l’Union.

Omniprésent dans nos applications quotidiennes et constituant le socle de notre monde moderne, l’open source réunit l’ensemble de la communauté des développeurs, engagée au service l’excellence numérique. Et si cette pratique, qui favorise une innovation rapide et accessible à tous, était la voie incontournable pour accélérer le progrès humain?

Amélie de Montchalin, ministre de la transformation et de la Fonction publique, a dévoilé son plan d’action sur les logiciels libres.

Les cyberattaques «nouvelle génération» contre les logiciels open source vont augmenter de 650% au cours de l’année 2021.

Dès novembre 2021, le code source de FranceConnect sera accessible aux internautes, a annoncé la ministre Amélie de Montchalin.

Microsoft rejoint la fondation OpenInfra pour soutenir l’open source, une notion très différente de celle du logiciel libre.

Microsoft Azure a averti les 3 300 clients concernés par cette faille de sécurité, dont les données sont exposées depuis des années.

Dans une startup, et surtout au début d’une startup, il est important de disposer des bons outils, à tous les niveaux. Souvent, il est commun de se tourner vers les plus gros, quitte à ce que ces derniers ne répondent pas à 100% aux besoins ou à payer plus cher. C’est pourquoi certains passent par des outils open-source.

Selon le média allemand Mobilsicher, Doctolib aurait envoyé les mots-clés tapés par les utilisateurs à Facebook et Outbrain pendant plusieurs mois.

Pendant la pandémie de Covid-19 AWS, Microsoft Azure, Alibaba et quelques autres entreprises ont enregistré une croissance sans précédent.

Une étude réalisée par l’OpenForum Europe estime que les retombées économiques de l’open source sont comptées entre 65 et 95 milliards d’euros.

Autrefois, le numérique (et ce qui l’accompagne: internet, les logiciels, les données, etc.) était censé être plus écologique, plus durable que le papier et les méthodes plus anciennes de communication. Désormais, nous savons que le digital a une empreinte carbone très forte et que les logiciels ne sont pas exempts de défauts, notamment en matière de durabilité.

La Commission européenne a annoncé le 20 avril qu’une plateforme dédiée au partage des données sur le Covid-19 était disponible.

Un site en open source qui regroupe les meilleures et plus récentes alternatives aux logiciels les plus populaires.

Si les États-Unis levaient l’interdiction qui empêche Huawei de travailler sur le territoire, la direction de l’entreprise chinoise s’estime prête à travailler de nouveau avec Google. Vraisemblablement, ce n’est pas l’avis de tous les directeurs du groupe. Pour cette raison et pour assurer ses arrières, Huawei travaille tout de même sur le développement de Huawei Mobile Services, un système d’exploitation open source qui semble recevoir un bon accueil, notamment en Europe.

Où en est l’Open Source? C’est la question que beaucoup se posent aujourd’hui, partagés entre les idées reçues et les déploiements éprouvés.

Au Royaume-Uni, les empreintes digitales et des données de reconnaissance faciale d’un million de personnes ont été exposées.

D’après le journal Bloomberg, la France se prépare à devenir le premier pays européen à utiliser la reconnaissance faciale pour ses services publics. Il suffira pour cela de créer un compte Alicem depuis son smartphone. L’utilisation de cette application n’est pas obligatoire pour le moment, mais elle entre dans un projet plus large, qui est celui de la dématérialisation administrative globale d’ici 2022. Certains organismes ont exprimé leurs réticences face à cette décision, car les utilisateurs de l’application n’auront pas d’autre d’alternative possible que l’identification par reconnaissance faciale. Le libre consentement sera donc ignoré.

Suite aux tensions avec les USA, les développeurs chinois craignent de perdre l’accès à GitHub, l’espace n°1 de collaboration open source.

GitHub lance ‘GitHub Sponsors’, un nouvel outil d’aide financière pour les développeurs.

La ville de Barcelone souhaite retrouver sa souveraineté technologique en rompant les contrats avec les logiciels propriétaires comme Microsoft pour développer les siens et les rendre accessibles à d’autres villes comme aux citoyens.