La dernière étude en date de PAC confirme la bonne dynamique du logiciel libre chez les entreprises françaises. Un phénomène qui ne devrait pas ralentir avant 2015.
Le marché du Logiciel Libre et des services associés a enregistré une belle croissance ces dernières années en France. Une dynamique qui devrait se poursuivre, à en croire le cabinet PAC.
Selon la dernière étude du cabinet Pierre Audoin Consultant, l’éco-système de l’Open Source en France est entré en 2011 dans l’ère de l’industrialisation. Maturité des technologies, prestations de services à la hausse dans les SSII, adoption des entreprises, main mise sur l’outillage, le mouvement du logiciel ouvert compte pour 6% des services IT en 2011, pour 2,5 milliards d’euros générés. Si la croissance devrait se poursuivre jusqu’en 2015, elle devrait ralentir à partir de cette date, faute de présence sur l’applicatif.
Le logiciel libre ne constitue plus une approche marginale au sein des entreprises, il est devenu un standard dans bien des domaines avec l’évolution des technologies et l’industrialisation des principaux acteurs du marché. C’est ce que montre Dans son étude Open Source France 2012, Pierre Audoin Consultants (PAC) analyse ce marché à la fois prometteur et en pleine mutation.
Si la dernière étude de la Linux Foundation confirme l’introduction de Linux dans les systèmes d’informations et dans les applications critiques, elle soutient également que l’OS Open Source constitue le pilier de choix pour mener des stratégies Big Data. Le mouvement devrait se confirmer en 2012. A condition toutefois de résoudre certains problèmes liés à l’interopérabilité et à la pénurie de compétences.
Si le Big Data et les technologies liées à l’analytique seront deux tendances de 2012, nos confrères de TechTarget pointent du doigt que l’intégration de ces nouvelles technologies dans les entreprises n’est pas encore garantie. Freinée par des compétences encore trop rares et la nécessité de former des équipes en place.
Denis Szalkowski est un formateur-consultant MySQL, Oracle, Linux, PHP, Perl, etc. Il a fondé en 2004 Winuxware, une société spécialisée dans le référencement, le développement de sites WordPress et osCommerce, et dans les systèmes d’information sous Linux.
Tout le monde connaît le succès de Linux et d’Apache. A leur suite, d’autres technologies Open Source montent en puissance ou annoncent des fonctionnalités prometteuses. Ainsi Nginx, OpenStack et Stig (1ère partie), ou encore Linux Mint, distribution Linux pour poste de travail, et GlusterFS, un système de gestion de fichiers pour créer des pools de stockage.
Tout le monde connaît le succès de Linux et d’Apache. A leur suite, d’autres technologies Open Source montent en puissance ou se profilent, en annonçant des fonctionnalités prometteuses. C’est le cas du serveur web Nginx (prononcez « engine-x »), du projet de cloud OpenStack et de Stig, une base de données orientée graphe.
Une forte campagne de lobbying de Microsoft et de la BSA ont poussé le gouvernement à revoir sa politique en matière de standards ouverts. Une consultation publique est lancée par le Cabinet Office afin de «clarifier» certains points. Une note annule clairement la précédente circulaire qui prônait l’ouverture.
Dans cette période de crise et de réduction drastique des budgets publics, chacun se demande si les budgets IT du secteur public survivront. Tous les gouvernements avaient engagé des programmes (santé, éducation, administration, haut débit) en vue de rendre leurs services plus performants et moins couteux. Qu’en restera-t-il en 2012? IDC a tenté sur le sujet, dix prédictions:
A l’occasion du Forum d’Avignon, qui ouvre ce vendredi, le cabinet Ernst & Young a livré son étude sur la propriété intellectuelle à l’ère du numérique. Un morceau d’anthologie.
Quid de l’open source chez Bull ? Jean-Pierre Laisné se charge de répondre à cette question, et de nous apporter sa vision de ce que doit et ne doit pas être le cloud.
Selon le ministre de l’Economie numérique, les logiciels libres constitueront « un axe fort de notre future stratégie France numérique 2020″. Que l’Etat respecte ses engagements précédents, rétorque l’April.
Pour GreenSI c’est en 2000 avec l’expression “click & mortar” que la prise de conscience de la transformation numérique de l’entreprise s’est révelée. C’est à dire la prise de conscience de: